Hippocrate, grand philosophe grec de l’Antiquité, est connu pour être le père fondateur de la médecine occidentale.

Les naturopathes actuels appliquent également ses principes et Hippocrape reste une référence dans la pratique naturelle pour aider les personnes à préserver et retrouver leur vitalité.

D’après Hippocrate, l’alimentation est la base de la santé et une clé essentielle. Il sépara la science et la philosophie de la nature et mit en place l’importance de l’hygiène autant pour le patient que pour le médecin.

L’alimentation comme seul médicament

Que ton aliment soit ton seul médicament.

Hippocrate (460 – 370 av JC)

Les piliers de la santé selon Hippocrate

Selon Hippocrate, les piliers de la santé reposent sur :

  • Des habitudes alimentaires saines
  • L’exposition au grand air (être dans la nature)
  • La capacité naturelle d’auto-guérison du corps
  • Un bon équilibre (homéostasie)

L’alimentation est le fondement de la santé selon Hippocrate, philosophe et fondateur de la médecine occidentale. Il a mis l’accent sur l’hygiène du patient et du médecin.

En tant que médecin grec (460-370 av. J.-C.), ses traitements étaient basés sur des habitudes alimentaires et des boissons saines, de l’air frais, sur le fait de compter sur les capacités d’auto-guérison de l’organisme et une attention particulière à une forme d’équilibre (homéostasie). La nature fournit des aliments sains aux propriétés qui favorisent la bonne santé.

Actuellement, l’origine principale des affections occidentales sont l’alimentation et le mode de vie moderne. Les aliments raffinés et transformés font partis des principales causes de la mauvaise santé de l’Occident.

Par exemple, la production de la farine blanche avec le raffinage de la farine de blé entier entraîne la perte de 80% des minéraux et de 90% des vitamines et presque l’intégralité des fibres. La vitalité alimentaire n’existe plus et ne permet plus de fournir l’énergie nécessaire au rythme de nos vies modernes.

Jusqu’au début du 20ème siècle, l’alimentation équilibrée était la base de toutes les thérapies pour la santé. C’est au 20ème siècle qu’une rupture radicale a eu lieu entre l’alimentation et la santé. Et c’est la principale raison qui, malgré une médecine efficace, nous n’arrivons pas à endiguer près de 70% des décès prématurés dus aux affections occidentales.

que ton aliment soit ton médicament

Notions en matière de santé

Les antioxydants

Les antioxydants protègent du vieillissement. Ils attaquent les radicaux libres agressifs. La quantité d’antioxydants dans les aliments est définie par une valeur ORAC* par 100 g. Cet indice permet d’évaluer sa la capacité anti-oxydante des aliments : les légumes frais, les légumineuses et les fruits ont des valeurs ORAC élevées.

Les meilleurs aliments selon cette valeur Orac sont certaines épices et certaines huiles essentielles. Moins l’aliment est transformé, plus la valeur ORAC est élevée. On considère qu’un homme a un besoin quotidien de 3000 à 5000 unités ORAC pour se protéger des radicaux libres.

*ORAC = Oxygen Radical Absorbance Capacity (Capacité d’absorption des radicaux oxygénés). Résultat du travail de deux chercheurs américain: A.GLAZER et GUC HAO CAO.

L’indice glycémique

L’indice Glycémique (IG) est la mesure qui exprime la façon dont les hydrates de carbone (sucres) des aliments augmentent le taux de sucre dans le corps. Les aliments à faible indice glycémique (< 50) maintiennent un taux de sucre en équilibre. Les aliments avec un indice glycémique élevé (> 70) font fluctuer le taux de sucre (vers le haut et vers le bas). Les dattes, le pain blanc et le panais ont un IG très élevé : ils donnent de l’énergie immédiatement, mais le sucre chute ensuite rapidement. En général, un régime alimentaire à faible indice glycémique est conseillé.

Vitalité des aliments et valeur Bovis

Un légume fraîchement ramassé possède une «vitalité» bien supérieur à un légume fané. Comment mesurer la vitalité des organismes?

Le Français André Bovis a développé une échelle de fréquence pour mesurer la vitalité des choses. Une personne en bonne santé a une valeur vitale de 6500 à 8000 sur l’échelle de Bovis. Une personne dont la valeur Bovis est inférieure à ces seuils devient sensible aux maladies car son niveau d’énergie est faible.

«Les aliments dont la valeur Bovis est inférieure à 7.000 consomment de l’énergie au lieu d’en fournir et sont sources de maladies. Au-dessus de 7.500, un aliment fournit l’énergie et peut être considéré comme «bon pour la santé». Au-dessus de 9.000, la nourriture a même un effet purifiant et thérapeutique».

Robert H. Steelooper

Investir dans une alimentation de qualité

Aujourd’hui, les dépenses des foyers se sont totalement inversé et la par alimentation est devenu ridicule par rapport à l’argent dépensé pour les ordinateurs, smartphones, voyages ou voitures. Cette erreur, nous risquons de la payer cher, car nous n’avons qu’un seul corps et nous devons l’entretenir de la meilleure façon possible jusqu’à la fin de sa vie. Rappelons-nous que « Nous sommes ce que nous mangeons« .

Yin Yang et équilibre

le concept de Yin et yang accepte que le yin et le yang sont opposés mais complémentaires et interdépendants. Selon la médecine chinoise et indienne, un être humain est en équilibre lorsque ces deux forces (yin et yang) sont présentes de façon équilibrée. Par nature, les femmes sont plus Yin et les hommes sont plus Yang. Les personnes en déséquilibre ont soit trop d’énergie Yin soit trop d’énergie Yang. Les gens trop Yin devraient donc accorder plus d’attention au Yang et inversement.

«Être en mauvaise santé, c’est comme une balance en déséquilibre. Il faut autant une polarité équivalente des deux côtés de la balance.»

Importance de l’alimentation

« Que ton aliment soit ton seul médicament »

Hippocrate

L‘importance de l’alimentation est complètement sous-évaluée dans la pratique médicale moderne. La diététique reste essentiellement fondée sur le seul équilibre glucides/lipides/protides, avec un apport suffisant en vitamines et calcium. L’importance des oligo-éléments n’a été que tardivement reconnue.

Or, notre corps se renouvellent continuellement et que les matériaux nécessaires à ce renouvellement sont trouvés dans notre nourriture. C’est aussi à partir de notre alimentation que nos cellules tirent leur énergie.

Histoire de l’alimentation

Au cours de la préhistoire, nos ancêtres étaient nomades, cueilleurs et chasseurs. Ils mangeaient par conséquent de la viande, du poisson, du miel, des légumes sauvages, des œufs, des céréales sauvages et des fruits. Le seul lait qu’ils buvaient était celui de leur mère durant la petite enfance.

Ils consommaient donc trois fois plus de protéines que nous, avec une plus forte proportion de protéines animales. Ils prenaient nettement moins de lipides et surtout moins de graisses animales. La quantité de glucides était équivalente, mais sans les sucres industriels et les produits laitiers. Cette nutrition originelle était riche en calcium, en potassium, mais pauvre en sodium. L’alcool inexistant. Les fibres importantes (trois fois plus qu’aujourd’hui). Les vitamines étaient abondantes, en particulier la vitamine C.

Au passage à la période néolithique, des sédentaires agriculteurs/éleveurs vont remplacer les nomades cueilleurs/chasseurs. Trois grands changements se produisent :

  • culture des céréales, principalement le blé et l’orge ;
  • élevage des vaches et des chèvres, fournissant les laits animaux ;
  • cuisson de nombreux aliments

A l’époque moderne, et surtout depuis le XX° siècle, l’industrie agroalimentaire a entraîné à son tour plusieurs changements notables :

  • préparation industrielle des huiles ;
  • introduction de divers produits dans les organismes végétaux et animaux destinés à la consommation ;
  • méthodes intensives de production, entraînant des carences en vitamines et surtout en minéraux.
Aliment santé

Quelle conclusion en tirer ?

Depuis l’apparition des hommes (il y a environ 5 millions d’années), la nourriture consommée est proche de celle des animaux sauvages et nos enzymes et mucines digestives sont adaptées à ces aliments. Le changement d’alimentation devenue riche en macromolécules nouvelles ne correspond plus aux capacités naturelles du corps.

Céréales

Actuellement, les céréales ont une place prépondérante dans l’alimentation humaine avec près des deux tiers des calories et la moitié des protéines absorbées par les hommes.

Le grain de céréale est entouré d’une enveloppe appelée son. Les protéines trouvées dans le son sont très différentes de celles du grain de la céréale. Les hommes préhistoriques mangeaient les céréales sauvages crues et entières. L’homme moderne ne consomme que le grain, ce qui signifie :

  • beaucoup plus d’amidon ;
  • beaucoup moins de cellulose, perte de 90 % des fibres ;
  • beaucoup moins de protéines utiles, de vitamines, de phosphore et de magnésium ;
  • 50 % en moins de calcium et de fer.
  • le grain est cuit, ce qui change grandement la structure de ses constituants.

Au niveau des principales céréales consommées, le riz ne semble peu ou pas dangereux alors que le blé et à un degré moindre le maïs ont été mis en cause dans plusieurs maladies. Le danger provient de la structure de certaines protéines du blé et du maïs.

Ces problèmes proviennent des protéines qui ont connu de nombreux changements depuis la préhistoire et nos enzymes et mucines n’y sont pas adaptées. Mais également de la modification de ces protéines qui deviennent nuisibles après la cuisson.

Les protéines du riz, même cuites, semblent beaucoup mieux tolérées.

Lait

L’usage des produits laitiers est régulièrement vanté dans nos habitudes alimentaires. Deux remarques s’imposent donc :

  • seul l’homme, parmi tous les autres mammifères, continue de consommer du lait après être sevré
  • ce lait est celui d’autres animaux, souvent même pour les nourrissons.

Qu’est-ce que cela implique ? Pour le bébé tout d’abord, que l’on supplémentera souvent au lait de vache, les différences sont nombreuses et très sensibles. Le lait humain comprend 7 % de lactose, quantité la plus forte observée chez les mammifères, deux fois plus élevé que dans le lait de vache. Il contient également plus de cinquante autres variétés de glucides, en particulier les gynolactoses, absents de ce dernier. Par rapport au de vache, le lait de femme est aussi :

  • plus riche en graisses : 45 gr/litre contre 36
  • un peu plus riche en cholestérol
  • beaucoup mieux nanti pour certains acides gras essentiels, libres ou inclus dans les triglycérides.
  • le lait humain inclut trois fois moins de sodium,
  • trois fois moins de calcium,
  • cinq fois moins de phosphore,
  • 35 fois moins de magnésium,
  • 100 fois moins de manganèse que le lait de vache,
  • les quantités de fer et de zinc étant par ailleurs analogues dans les deux cas.

Malgré ces doses relativement faibles de minéraux et d’oligo-éléments dans le lait maternel, le bébé ne souffre d’aucune carence car, telles qu’elles s’opèrent dans le lait humain, les liaisons entre ces minéraux et d’autres substances autorisent une absorption optimale. Il n’en est pas de même pour le lait de vache, avec lequel le fer est dix fois moins bien absorbé, favorisant dans l’intestin la formation de germes pathogènes.

Le calcium est également beaucoup moins bien absorbé, en raison de l’excès de phosphates, ce qui aboutit parfois à une hypocalcémie a priori paradoxale. Enfin, les leucocytes du lait humain renforcent les défenses immunitaires du bébé. Il est bien connu qu’un nourrisson élevé au sein est beaucoup plus résistant aux infections digestives et générales.

Quant aux laits maternisés, s’ils se rapprochent du lait humain par la proportion de leurs constituants, il n’y a cependant pas une complète corrélation. Mais, surtout, on suppose que les protéines du lait de vache sont aussi peu dangereuses que celles du lait humain, alors que la structure des molécules, bien plus que le simple équilibre quantitatif glucides/lipides/protides, est l’élément capital. Les protéines de lait de vache ont une structure primaire différente de celles du lait humain, avec des régions où les acides aminés ne sont pas les mêmes.

Aussi certaines protéines bovines résistent-elles, au moins en partie, à la digestion par des enzymes et une flore bactérienne humaines de toute façon mal adaptées. Des macromolécules vont donc traverser la muqueuse de l’intestin grêle, mal protégée par un mucus quantitativement insuffisant et non adéquat. Ceci vaut bien sûr pour l’adulte comme pour l’enfant. De fait, le lait de vaches et ses dérivés (fromages, yaourts…) sont incriminés dans diverses maladies tels que la polyarthrite rhumatoïde, le diabète sucré juvénile, la sclérose en plaques, certaines migraines, la maladie de Crohn, les accidents cardio-vasculaires…

La cuisson

Le but de la cuisson est tout à la fois de donner une texture et un goût particulier aux aliments, d’aider dans une certaine mesure leur conservation, de favoriser la digestibilité et de détruire les micro-organismes.

Sous l’effet de l’agitation thermique lors de la cuisson, cependant, les molécules se choquent, se cassent et s’accrochent au hasard à d’autres structures pour former de nouvelles combinaisons très complexes dont certaines n’existent pas dans la nature. Or, il suffit souvent d’une petite différence par rapport à la molécule initiale pour obtenir une molécule que l’organisme est incapable de traiter. C’est très probablement pourquoi, au cours de la phase de digestion d’aliments cuits, il se produit régulièrement une leucocytose, ce qui suggère que des macromolécules fabriquées par le phénomène de cuisson ont traversé la paroi intestinale et ont provoqué une réponse immunitaire.

De nombreuses données cliniques viennent confirmer les effets nocifs de la cuisson. Il est ainsi reconnu que :

  • les graisses animales cuites, essentiellement viandes et produits laitiers, favorisent la venue du cancer du sein et du cancer du colon ;
  • les populations anglo-saxonnes et scandinaves, grandes consommatrices de certains aliments cuits : blé, maïs, lait et graisses animales, paient aussi un lourd tribut à l’obésité, au diabète de la maturité et aux maladies cardio-vasculaires ;
  • certaines molécules de Maillard (fabriquées, lors de la cuisson, par interaction entre protéines et enzymes réducteurs), incassables par nos enzymes, sont absentes chez le nourrisson et présentes en quantité relativement abondantes chez le vieillard. Elles pourraient participer au vieillissement cérébral prématuré.

Les modifications induites par la chaleur sont d’autant plus importantes que la température est élevée et le temps d’exposition est long. La frontière au-dessus de laquelle les aliments subissent des transformations importantes se situe autour de 110° C. Il convient donc d’opter pour la cuisson à l’étouffée ou à la vapeur douce.

Quant à l’usage du four à micro-ondes, il fait subir aux aliments des modifications de structure subtiles, encore mal connues, mais qui semblent redoutables. A cet égard, les résultats d’une expérience récente menée par le Pr. Joyeux, professeur de cancérologie et de chirurgie digestive de la faculté de médecine de Montpellier, peuvent faire réfléchir. Trois lots de souris ont été nourris avec les mêmes aliments préparés de façon différente :

  • pour le premier lot, chauffage au four à micro-ondes ;
  • pour le deuxième, cuisson à la cocotte-minute ;
  • pour le troisième, état cru ou cuisson à la vapeur douce.

Les souris du premier lot ont tout d’abord refusé la nourriture, puis, poussées par la faim, ont fini par manger. Des cellules cancéreuses ont ensuite été inoculées à chacun des rongeurs. Le pourcentage d’animaux développant un cancer a été de 100 % pour le premier lot, de 50 % pour le deuxième et de 0 % pour le troisième lot !

La pollution alimentaire

Ce phénomène s’est essentiellement développé depuis le XX° siècle, du fait de l’industrialisation de la production alimentaire. La préparation des huiles et les méthodes de rendement intensifs en sont les deux exemples principaux.

Le mode de préparation industriel des huiles présente trois inconvénients :

  • persistance de certains produits nocifs, comme l’hexane, fortement intégré aux corps gras et impossible à éliminer totalement ;
  • saturation d’une partie des acides gras insaturés ;
  • transformation d’une fraction plus ou moins importante des acides gras insaturés cis en forme trans, que notre organisme est incapable de métaboliser. Les acides gras poly-insaturés trans sont impliqués dans l’hypercholestérolimie, l’athérosclérose, l’obésité, la résistance à l’insuline au cours du diabète et les accidents coronariens. Le déficit en acides gras poly-insaturés cis affecte le fonctionnement des membranes cellulaires et déséquilibre le métabolisme des prostaglandines (substances agissant comme régulateurs cellulaire), ce qui retentit sur les réponses inflammatoires et immunitaires.

Par soucis de rendement, on utilise aujourd’hui couramment hormones, antibiotiques, tranquillisants, médicaments divers pour les animaux, pesticides et engrais pour les végétaux. Les conséquences les plus manifestes sont un appauvrissement en certaines vitamines et oligo-éléments dans notre nourriture et, évidemment, la pollution de la terre, de l’air, de l’eau.

Tous les animaux et les végétaux étant artificiellement bourrés de minéraux et de vitamines pour un rendement plus rapide, d’où viennent, paradoxalement, les carences constatées aujourd’hui chez l’immense majorité des gens ? Il est probable, tout simplement, que l’animal ou la plante dont la croissance est accélérée ne fixent pas une partie des minéraux et des vitamines. D’autre part certains modes de production font de toute façon perdre une grande partie des minéraux et/ou vitamines aux aliments : conserves, aliments cuits, sel et sucre raffinés.

Rester en bonne santé : le rôle primordial de l’intestin grêle

La fonction essentielle de l’intestin grêle est de participer à la digestion des aliments et d’assurer une absorption sélective par l’organisme des substances digérées. Il est l’ultime frontière entre notre milieu intérieur et les nutriments venus de l’extérieur. Son rôle est donc fondamental.

La flore bactérienne de l’intestin grêle, extrêmement abondante, vit normalement en symbiose avec « l’hôte » humain. Les bactéries complètent, en effet, la digestion de certains aliments, dégradent les pigments biliaires, participent à la fabrication de la vitamine K, freinent le développement des levures et des champignons et libèrent des polyamines nutritives pour les entérocytes, qui sont les cellules chargées de l’absorption de la plupart des nutriments. On comprend dès lors l’importance d’une flore intestinale suffisante et adaptée à ces fonctions.

D’autre part, les entérocytes constituent la seule barrière qui sépare notre milieu intérieur de certains agents nocifs (parasites, bactéries, virus, aliments incomplètement digérés), or ils sont disposés en une seule couche de 1/40 de millimètre sur la surface de la muqueuse du grêle ! Même chez un individu normal, l’imperméabilité du grêle n’est donc pas parfaite. Toutefois, les désordres commencent véritablement lorsque les jonctions entre les entérocytes se distendent sous l’effet de divers facteurs d’agression, que nos modes d’alimentation pourvoient hélas en abondance.

Des déchets bactériens et alimentaires en quantité excessive vont dès lors franchir la paroi de l’intestin grêle et pénétrer dans la circulation sanguine générale, ce qui pourra être la cause de très nombreuses maladies. Toute démarche thérapeutique devrait donc débuter par un diagnostic de l’état des intestins en vue de leur faire retrouver, le cas échéant, un fonctionnement optimum. C’est aussi l’une des raisons pour lesquelles la nutrithérapie connaît aujourd’hui un tel essor !

Consommation de céréales, de lait et de produits laitiers, utilisation de méthodes de cuisson trop fortes, ingestion d’huiles frelatées, déficience en vitamines, minéraux et oligo-éléments, sont autant de facteurs d’agression des muqueuses du grêle ainsi que d’amoindrissement des facultés de réponse de notre organisme. L’ouvrage déjà cité du Dr Seignalet, dont nous tirons la quasi-totalité de ces réflexions, fait le lien scientifique exact entre ces facteurs et l’apparition de diverses pathologies. Il donne aussi les remèdes et les solutions. Nous ne pouvons donc mieux faire que d’y renvoyer.

Nourriture et médicament

Les médecins hippocratiques voyaient clairement une différence entre la nourriture et les médicaments.

En fait, la nourriture était considérée comme un matériau qui pourrait être assimilé après digestion (par exemple l’air était également de la nourriture) et converti en substances du corps. Par exemple, la nourriture était convertie dans les différentes parties du corps, telles que les muscles, les nerfs, etc.

En revanche, le concept de médicaments à l’époque était un produit qui était en mesure de changer la nature même de l’organisme (en termes de qualité ou de quantité dans l’humeur), mais pas être convertis en substances dans le corps lui-même.

Ainsi un aliment n’était pas considéré comme un médicament.

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